Miramas (13140), Arcueil (94110), Gourdon (46300), Brioude, Aigues-Mortes, Mende, etc

Il était une fois en Yougoslavie : Cinema Komunisto

Du au

Projections en janvier 2015 :

• Cinéma Le Comoedia à Miramas (13140) : mardi 13 janvier à 18h
• Cinéma Jean-Vilar à Arcueil (94110) : mercredi 21 janvier à 20h30, projection suivie d’un débat animé par Jean-Arnault Dérens, rédacteur en chef du Courrier des Balkans.
• en février, dans le cadre du festival Rencontres Images en Résistance de Gourdon (46300)
• Cinéclub de Brioude (43) : Mardi 24 mars
• Cinéclub d’Aigues-Mortes (30) : Jeudi 19 mars
• Cinéclub de Font Romeu (66) : Jeudi 12 mars
• Cinéclub de Mende (48) : Mardi 10 mars


Écoutez un entretien de Mila Turajlić avec Simon Rico sur Balkanophonie 


LA CROIX « Cinema Komunisto » : Tito et le cinéma, Hollywood à la mode yougoslave
 » Derrière le titre Cinema Komunisto, il était une fois en Yougoslavie, se cache un formidable documentaire, folle aventure du 7e art telle que l’écrivit le maréchal Tito, à la tête d’une Yougoslavie transformée en un gigantesque Hollywood européen. »


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Cinema Komunisto : il était une fois en Yougoslavie

Les mutins de Pangée, 2014, durée 101 minutes, livret de 36 pages, 18 euros


TELERAMA « Quand la Yougoslavie explosa, Mila Turajlic n’avait que 10 ans. Voir mourir son pays natal de son vivant, tout le monde ne peut en dire autant… Que reste-t-il aujourd’hui de cet Etat balayé par l’histoire ? (…) En assemblant, dans un montage virtuose, extraits, archives inédites et entretiens avec les anciens protagonistes du « kino » des Balkans, la documentariste décortique l’édification d’un mythe politique en 35 mm. »

L’HUMANITE « La réalisatrice Mila Turajlic explore en détective les histoires conjointes de la Yougoslavie et de son cinéma. Un pays qui n’existe plus et dont toute image risque de disparaître. »

LE FIGARO MAGAZINE « Dans un formidable documentaire multi-récompensé, Mila Turajlic fait revivre ces temps et ces lieux aujourd’hui à l’abandon, avec images d’archives et témoignages. Le plus étonnant ? Celui du projectionniste personnel de Tito, qui se souvient avoir montré plus de 8000 films au maréchalissime »

STUDIO CINE LIVE « Mila Turajlic ne cache rien. Ce voyage initiatique au cœur de la grande mise en scène dirigée par Tito, ce réalisateur sans caméra, prouve qu’il y a de bons restes dans ce qu’était le cinéma yougoslave. Le savoir-faire de Mila Turajlic en est la plus belle preuve. »

PREMIERE « Consignant des souvenirs appelés à disparaître, le documentaire raconte ce pays comme une fiction. Malgré une fin elliptique, ce point de vue passionne »