Le Courrier des Balkans

Dans les salles obscures : Irina, la Mallette rouge

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Irina, la Mallette rouge n’est pas le chef-d’oeuvre du Septième Art que le monde entier attendait. Le scénario nous est apparu souvent fragile voire cousu de fil blanc, et pourquoi donc ces Serbes de Bosnie parlent-ils anglais ? Un film de Jacques Mazauric, en salle en France depuis le 3 septembre.

Par Vincent Doumayrou Les guerres yougoslaves des années 90 continuent d’alimenter les sorties ciné en France. Cette année, après Les femmes de Visegrad le 30 avril, déjà chroniqué par le CdB, puis Les Ponts de Sarajevo le 14 juillet, un nouveau film consacré à cette période est sorti cette semaine : il s’agit de Irina, la Mallette rouge, du réalisateur français Jacques Mazauric. Une jeune femme et son père serbes fuient pendant les dernières semaines de la guerre en Bosnie. Le père est touché par un franc-tireur, et la fillette Irina doit s’enfuir, avec comme seul bagage une mallette rouge. Elle est recueillie peu après par (…)

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