Entre Albanie et États-Unis : Ani Gjika, la langue de l’exil et la langue de la poésie

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Elle a passé son enfance en Albanie, auprès d’une grand-mère qui pratiquait le protestantisme en cachette, avant de suivre ses parents émigrés aux États-Unis... Écrivaine et traductrice de poésie, Ani Gjika parle de la violence patriarcale, des langues et de l’exil. Rencontre.

Traduit par Jacqueline Dérens (Article original) | Adapté par la rédaction Née en Albanie au temps de la dictature d’Enver Hoxha, est partie avec sa famille vivre aux États-Unis en 1996. Poétesse, traductrice naviguant entre deux langues, l’albanaise et l’anglaise, Ani Gjika vient de publier un livre de mémoires An Unruled Body : A Poet’s Memoir.

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