Les pays de l’ex-Yougoslavie face au TPI

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L’Association Sarajevo rappelle l’impératif de la coopération avec le Tribunal international de La Haye, à l’occasion de l’émotion suscitée en Bosnie-Herzégovine par l’ouverture du procès de Naser Oric, l’ancien commandant bosniaque de Srebrenica.

La pleine coopération des pays de l’ex-Yougoslavie au travail du TPI, en matière d’information, de documentation et, bien sûr, de poursuite et d’arrestation des criminels présumés, est devenue la condition obligée de leur intégration aux institutions euro-atlantiques. La défaillance à remplir cette obligation a été le motif invoqué pour refuser l’adhésion au Partenariat pour la Paix de la Serbie-Monténégro et de la Bosnie-Herzégovine (du fait de la RS) par le sommet de l’Otan de juin dernier. Elle est partiellement la cause de la récente décision de la Commision de Bruxelles de retarder l’ouverture des négociations avec la Croatie en vue (…)

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